Le 50e article
« Le 50e article » déjà ? (des chats ? où ça ?). Eh oui déjà le 50e article et on ne peut pas dire que ce soit terrible comme titre. Pas très accrocheur en plus. Mais c’est bel et bien le 50e article que je publie sur mon blog et ça me fait tout drôle d’avoir déjà produit autant de textes et coups de cœur en tout genre en moins de 2 mois. J’me disais que pour cet article j’allais me trouver un sujet grandiose et pointu. Le type de truc qui allait m’attirer des foules et faire culminer mes stats en termes de visites…mais j’ai rien trouvé d’aussi pertinent. Non en fait vu mes autres préoccupations du moment j’ai eu la flemme de trop creuser. Donc voilà la raison de cette daube (j’en entend déjà qui murmurent des insanités à mon propos, pourtant ils sont très souvent scotchés sur TF1). J’espère que mes quelques lecteurs assidus ne seront pas trop déçus. Je promets de faire des efforts pour relever le niveau par la suite…enfin dans la mesure du possible. Parce que malheureusement j’ai des responsabilités qui ne toléreront pas d’être mises en retrait par rapport à celle que j’ai en tant que blogueur.
Allan le blogueur néophyte venu de la planète Pandora (c’est vrai qu’en venant ici vous ouvrez une espèce de boîte de Pandore quand même et Dieu seul sait ce que vous libérez dans la nature) se retrouve déjà à 50 articles et commence progressivement à s’insérer dans la blogosphère. J’ai eu la chance de faire des rencontres virtuelles réellement plaisantes (Magalie, Lila, Marlou, Sékateur, Lilie, French Onion, Volette et Kiara pour ne citer que ceux-là) et je suis convaincu d’en faire encore bien d’autres avec un peu plus de baraka. L’aventure s’avère aussi plaisante et enrichissante que je l’espérais et je suis tenté de continuer à polluer le cyberespace avec mes publications à 2 balles (Bah oui ! Quitte à vous faire chier autant faire durer le supplice).
Certains ont pu remarquer qu’à la fin de la semaine dernière ce n’était pas la grande forme. Un coup de barre et même un certain ras le bol difficiles à gérer. Trop de pressions, un projet sur les bras dont l’évolution fait carrément du « moonwalk », une sensation d’insécurité avec la reprise des troubles en Tunisie…etc. La liste serait assez longue mais pleurnicher c’est pas trop mon truc. Disons que j’essaie de gérer et depuis hier je m’efforce de rester confiant. J’m’en sortirais forcément. Mon père me répète souvent : « un Homme seul est foutu d’avance » et j’sais que j’ai tout de même des gens sur qui compter malgré la distance. Donc j’suis pas encore foutu.
On met donc un frein à la déprime et on célèbre ce 50e article en espérant qu’il fera plein de bébés pour notre plus grand plaisir (surtout le mien tiens !). Merci à tous de prendre quelques minutes de votre précieux temps pour me lire. Vous participez à mon rayonnement personnel.