American Pie 4 (Reunion)
Le retour de la bande de joyeux lurons d’American Pie est de toute beauté. Impossible de se lasser de Jim, Michelle, Stifler, Finch et tous les autres. Jon Hurwitz, et Hayden Schlossberg ont réalisé une perle qui confère indéniablement les clés du teen-movie réussi à la saga.
Le temps est passé mais les personnages n’ont rien perdu de leur comique. Jim arrive toujours à se fourrer dans des situations rocambolesques et Stifler reste le boute-en-train qu’on a connu dans les trois premiers volets. Il est vrai que le film tourne essentiellement autour de la fibre nostalgique des premières productions de la saga. L’affiche de ce dernier opus s’apparente d’ailleurs à celle du premier film et l’on peut voir la métamorphose chez les différents protagonistes. Il peut être difficile d’y trouver de l’intérêt si on n’a pas vu ou apprécié les films précédents (excepté peut-être les 3 ou 4 derniers). Cependant ça reste selon moi une bonne comédie à l’américaine.
Synopsis :
Comme le temps passe…Souvenez-vous de cette année 1999 où quatre lycéens d’une petite ville du Michigan décidèrent d’en finir avec… leur virginité. Quête héroïque, burlesque, inoubliable… Une décennie plus tard, Jim (Jason Biggs) et Michelle (Alyson Hannigan) sont mariés, Kevin (Thomas Ian Nicholson) et Vicky (Tara Reid) sont séparés, Oz (Chris Klein) et Heather (Mena Suvari) se sont éloignés à contrecœur, tandis que Finch (Eddie Kaye Thomas) soupire encore après… l’extravagante mère de Stifler (Jennifer Coolidge). Quant à Stifler (Seann William Scott), rien ne le changera jamais. Amis d’hier, amis de toujours, ces jeunes hommes attendaient depuis longtemps de pouvoir se réunir le temps d’un week-end pour se remémorer leurs exploits d’antan et y puiser de nouvelles inspirations. Que la fête commence, l’heure du checkup hormonal a sonné…
De bons ingrédients pour un sacré moment de détente. Moi j’ai pris mon pied ‘(mais bon, il faut dire que récemment il m’en faut peu pour ça) et je le recommande vivement. Pour les fans de la saga il est à noter un élément clé dans ce long métrage…la revanche (pas forcément attendue) de Stifler sur Finch qui restera certainement comme un élément marquant.
